Peut-on réellement faire confiance à un correcteur d’orthographe ? Personne n’est à l’abri d’éventuelles erreurs.
Pourquoi se doter d’un correcteur d’orthographe
Même les auteurs les plus téméraires ne sont pas à l’abri d’une erreur ce qui les incite à s’équiper d’outils spécifiques.
Comment sélectionner les outils adaptés pour produire qualitativement ?
Un correcteur d’orthographe se montre-t-il comme la meilleure solution pour éradiquer les fautes dans ses textes ?
Il nous arrive fatalement de commettre certaines irrégularités en matière rédactionnelles. Malgré l’effort de la relecture, des titres peuvent laisser apparaître un oubli grossier dû à un manque d’attention.
Pour améliorer ses textes, le rédacteur agit sur deux axes :
- Une amélioration de sa concentration.
- Des outils qui lui libèrent de l’espace cervical.
C’est pourquoi une liste correcteurs se dresse ci-dessous.
Comment définir un correcteur d’orthographe ?
Un correcteur d’orthographe est un logiciel qui scrute le texte, pour étudier la structure du champ lexical (appelé aussi correcteur d’orthographe et lexical).
À partir de sa base, de donner le correcteur analyse chaque mot pour l’étudier dans sa situation grammaticale. Concrètement, cette technologie s’appuie sur une base de données comparative qui évalue le texte.
En d’autres termes, un correcteur d’orthographe ne se contente pas de relever les erreurs lexicographique. Cet accessoire de conception relève aussi les manquements grammaticaux, la compréhension de texte et propose des solutions de correction.
Néanmoins, le correcteur garde entièrement la main sur sa création. Cet instrument reste un assistant de premier choix pour gagner du temps et se concentrer sur le corps du texte.
L’offre en matière de correcteurs d’orthographe
Il existe plusieurs types d’appareils numériques en la matière.
Correcteurs on-line : des correcteurs d’orthographes gratuits ou payants, ces instruments apportent une réponse en ligne efficace.
Comment activer un correcteur d’orthographe ?
Il suffit de déposer le texte dans une boite d’invitation et de se laisser guider. En général, des soulignements indiquent les égarements du correcteur.
Son fonctionnement se base sur la saisie du texte ou à partir d’un copier-coller.
Petite explicatoin pour relire et corriger un livre en video
Le meilleur choix des correcteurs d’orthographe
Comment choisir le correcteur d’orthographe pour son quotidien ?
Attention, un correcteur d’orthographe n’est qu’un assistant
Bon patron : le choix le plus judicieux ?
« Bon patron » (autoproclamé comme « dénicheur-comparateur ») apporte une version gratuite à ses utilisateurs pour tester le produit. En l’espèce, cette offre fous impose des insertions publicitaires et une limitation de la longueur du texte à 500 mots.
Le dispositif payant est plus confortable d’utilisation. En effet, l’offre supporte des articles plus longs enrichis de commentaires plus complets sur les erreurs relevées.
« Bon patron » jouit d’une bonne réputation auprès des auteurs malgré quelques défaillances. Ses infobulles, ses propositions de correction et ses explications sont appréciées.
De plus, « bon patron » propose une fonctionnalité Dictionnaire et des synonymes de mots pour enjoliver votre texte.
« Scribens » : un peu moins connu comme correcteur, mais utilisé par les rédactions
« Scribens » concurrence directement ses collègues par un modèle facile à intégrer. Ce logiciel se montre très apprécié pour sa capacité à détecter les fautes de grammaire (liaison et accords).
À cela, cet outil de correction offre tout un éventail de services en mode payant :
- Traitement de la densité des mots
- Proposition de synonymes
- Repérage des phrases longues et expression familière.
La version gratuite connaît un succès retentissant auprès des rédacteurs web.
Antidote : le choix du roi
Ce logiciel linguistique payant d’origine canadienne doit sa réputation pour la pluralité de ses composants :
- Correction avancée : qui repère les fautes de grammaire, de conjugaison, mais aussi de typographie ? Son analyse de style s’avère puissante. Par exemple, l’étude « Flesch » et « Antidote » apporte des informations remarquables sur la lourdeur du texte.
- Dictionnaire : qui se base sur la définition des synonymes et des antonymes pour respecter la construction étymologiste. Un dictionnaire personnel recueille les mots spécifiques de votre rédaction.
- Guide linguistique : règles décrites et illustrées avec des exemples.
Antidote s’intègre aux logiciels de traitement de texte habituel (Word, produits Microsoft Office) et permet de corriger automatiquement la rédaction de mails, mais aussi de présentation sur « Power point ».
Exemple de la relecture de cet article avec Antidote
Reverso peut aussi compléter les outils de la correction d'orthographe (un article développe les fonctionnalités de reverso).
Faut-il utiliser le Robert?
oui est non. Le robert semble facile à utiliser mais comparé à antidote, les fonctionalités n'ont rien à voir pour un prix à peine plus élevé. Toutefois, c'est le logiciel préféré des maisons d'éditions.
Petite présentation du robert
Méthode imparable pour éviter certaines erreurs.
Personnellement, je rencontre ce type de problème et c’est parfaitement normal. C’est pourquoi un correcteur d’orthographe s’impose.
Les agences médias, ainsi que les éditeurs exploitent ces mêmes logiciels. En outre, la rédaction demande du temps et de l’espace mental. Or, notre monde se compose de notification permanente ou d’interruptions répétées.
Difficile dans ces conditions d’effectuer une relecture sérieuse sachant que les producteurs de contenus travaillent en « Open space » (le pire endroit).
Les lapsus, coquilles, erreurs de saisie et autres oublis d’accord ou de liaison dus à la fatigue sont un souci permanent. Tout rédacteur qui pèche par un excès de confiance est amené à en payer le prix.
L’idéal pour un rédacteur professionnel est d’utiliser un correcteur orthographe « lexical » et « grammatical » pour garantir un texte de qualité.
D’autres outils viennent compléter la batterie du rédacteur comme la chasse à la duplication (kil duplicate) ou les analyser de termes pour le référencement naturel (« alayser »).
N’oubliez pas que le cerveau humain reste le meilleur arbitre en cas de doute. Après tout, les robots sont des « matheux » et non des littéraires. Ils commettent des erreurs rigolotes !
N. B : ce texte a été corrigé par le biais de « bon patron » et « Scribens ».
À vous de juger !