Quelle que soit la nature de la rédaction, il s’agit d’écrire sans la moindre faute d’orthographe. Cependant, la pratique de l’écriture implique toujours une certaine prise de risques. En effet, les fautes de grammaire et les erreurs lexicales représentent qu’une partie infime des manquements d’un rédacteur.
Concrètement, les fautes d’usage sont appelées à s’accumuler. Pourquoi ? Parce que notre monde ne cesse de modeler la langue en fonction des courants du moment. Par exemple, l’écriture inclusive en soi s’apparente comme une faute d’usage. En revanche, son bienfondé réside sur certaines convictions d’une population.
Auparavant, les textes étaient relus par un tiers pour vérifier d’éventuelles fautes. Aujourd’hui, la relecture reste de mise. Néanmoins, des outils peuvent faire gagner un temps précieux pour le rédacteur.
Par exemple, des systèmes analysent la densité du texte et indiquent immédiatement le degré de compréhension.
À cela, les correcteurs fleurissent dans un contexte où les créateurs de contenu ne parviennent pas toujours à s’épauler d’un relecteur (pour des questions financières ou de temps disponible).
Pour assurer une livraison de documents déduits de toute faute ou erreur, il devient primordial de s’équiper de la même manière que les éditeurs. Des articles sont disponibles pour améliorer ses connaissances dans la correction d’articles, ou de publication sociaux.