Curieusement, peu de personnes savent donner une définition précise du copywriting. Chacun en fait à sa sauce. Cependant, de nombreux professionnels ont écrit à ce sujet. Eugène Schwartz, Ogilvy, Robert Caulier, laisse dans leur œuvre les meilleures techniques pour créer les publicités les plus rentables au monde.
Dans le monde francophone plutôt influencé par le référencement naturel, le copywriting fait son entrée progressive. En effet, il s’avère difficile d’optimiser des pages pour l’utilisateur et pour les moteurs de recherche. Toutefois, Google tente de muter son activité vers l’intention de recherche. Et cela change tout. Cela signifie que les contenus se mobilisent non plus pour plaire à une machine, mais à votre visiteur.
Il ne s’agit plus de créer en masse des écrits, mais de percevoir les besoins de ses prospects pour écrire une copie qui colle précisément à ses attentes.
Cette discipline fait écho dans l’industrie du marketing direct pour améliorer les ventes (on vous explique pourquoi dans cette section).
L’art du copywriter ne se limite pas à la simple rédaction d’un texte pour étudier chaque mot.
Son rôle se concentre à créer une ambiance, pour que son lecteur se dise : « ce texte a été écrit pour moi… », alors qu’il est diffusé à des milliers d’utilisateurs.
Sa copie n’est que la partie émergée de l’iceberg. En amont s’exécute un formidable travail de compréhension (et surtout de ciblage). Le copywriter s’appuie sur son « Press-book » pour trouver les meilleurs incentives qui font mouche. Il ne travaille pas au mot, mais au résultat.
Le champ d’activité d’un copywriter s’apparait bien plus large, car il peut intervenir dans la conception de script de vente pour les supports multimédias.
Sans s’en apercevoir, tout le monde persuade pour influencer une situation afin de la rendre plus favorable.
C’est ce que font les bébés dès la naissance. Ces chérubins crient pour persuader les parents de s’en occuper. Toutefois, avec les temps les mécanismes de persuasion se complexifient en fonction de certaines règles de la société.
En général, une influence reflète un aspect néfaste, bien que la persuasion permette de mieux vivre en société. La hiérarchie, ainsi que l’autorité composent quelques facteurs de confessions.
Un exemple : le poids des médias sociaux.
Ces plateformes d’information se basent sur la communauté. Ce corps social crée un pouvoir d’influence considérable. En effet, les groupes de personnes réunis autour d’une idée, ou d’un projet (plus rare), renforce les biais de confirmation. Le simple fait d’émettre des contenus d’un sujet similaire à vos opinions conforte vos croyances.
Oui et non. Dans certains cas, la persuasion conduit au vice, surtout auprès des manipulateurs. Dans d’autres cas, cette matière nous conduit vers un monde meilleur. Par exemple, le médecin qui traite une maladie ne s’appelle-t-il pas aussi manipulateur dans le jargon médical ?
Dans cette partie, nous allons développer la plupart des concepts de la persuasion. Il s’agit de comprendre comment apporter une information crédible à son client pour qu’il puisse reconnaître votre solution comme le meilleur partie pour résoudre son problème. A contrario, une personne exempte de foi risque de ne pas pouvoir s’épanouir en société.
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